Des milliers de femmes manifestent à Séoul contre la « molka », de la pornographie filmée à la caméra cachée dans les lieux publics.
La Corée du Sud fait face à un fléau de voyeurisme high-tech . Avec des caméras miniatures, des photos et vidéos à caractère sexuelle circulent sur le net sans le grès des femmes qui y figurent. Il y aurait en moyenne 6000 cas par an depuis 2013 selon la police et la majorité des victimes sont des femmes.
Des hommes mettent en ligne des pornographies de leur conjointe en les affichant dans tous les états. Non seulement des images de relations sexuelles sont diffusées mais aussi des vidéos de femmes en cabine d’essayage ou vestiaires, aux toilettes publiques, en bikini à la piscine, ou encore marchant dans la rue.
La loi qui n’effraye pas