Le jeune mannequin de 20 ans multiplie les apparitions depuis que Donald Trump a annoncé le Muslim Ban en janvier dernier quelque temps après être entré à la Maison Blanche.
Bella Hadid accompagnée de sa sœur Gigi, de leur maman et de quelques amis ont rejoint la marche « No Ban No Wall » qui avait lieu à New York. En y participant, les filles Hadid portaient des panneaux avec l’inscription « We are all humans » (nous sommes tous des humains).
Lors de cette marche qui a réuni des milliers d’américains de tous horizons, Bella Hadid déclarait à la version américaine de Elle : « Nous ne devrions pas traiter les gens comme s’il ne méritaient pas la gentillesse juste à cause de leur origine ethnique. »
Plus d’un mois après, le sujet est revenu sur la table.
Fille de Mohamed Hadid, un musulman d’origine palestinienne, Bella Hadid explique à Porter Magazine que son père « était un réfugié lorsqu’il est venu s’installer aux Etats-Unis. Donc la politique migratoire de Trump nous touche personnellement ma sœur, mon frère et moi. »
Le mannequin continue d’expliquer que son père « a toujours été religieux, et qu’il avait l’habitude de prier avec nous. » et de conclure « Je suis fière d’être musulmane ».