Dans la famille Hadid on demande Bella. Après la couverture de Gigi Hadid qui avait fait polémique parce qu’elle portait le voile, c’est au tour de sa sœur d’être cover girl.
Depuis l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis, les sœurs Hadid n’ont cessé de revendiquer leurs racines palestiniennes afin de prouver qu’au pays de l’Oncle Sam, la diversité faisait la force.
De plus en plus sollicitée par les magazines, Bella Hadid fera la Une ce mois de septembre pour de nombreux supports : Vogue Arabia, Harper’s Bazaar chinois, Elle russe et chinois et Vogue chinois.
Visiblement fière de représenter ses racines, la jeune femme s’est exprimée sur Instagram.
» Je suis honorée et fière d’être en couverture de Vogue Arabia, pas seulement pour avoir été photographiée par le seul et l’unique Karl Lagerfeld (…) particulièrement pour représenter et chérir le fait que je suis à moitié palestinienne par mon père et la merveilleuse partie arabe de ma famille. »
En avril dernier, la fille de Mohamed Hadid, expliquait à Porter Magazine que son père « était un réfugié lorsqu’il est venu s’installer aux États-Unis. Donc la politique migratoire de Trump nous touche personnellement ma sœur, mon frère et moi. » Le mannequin a ajouté à la même source que son père « a toujours été religieux, et qu’il avait l’habitude de prier avec nous. » et de conclure « Je suis fière d’être musulmane ».