Puisez chaque mois dans votre boite à outils coaching de quoi explorer vos options, optimiser votre potentiel et vous réaliser, avec Tina Zschiegner, Stratégiste comportementale
Pourquoi les résolutions du nouvel an finissent-elles à la corbeille ?
Les résolutions en tant que telles ne servent à rien parce que souvent nous les réduisons à une simple question de volonté. Erreur d’interprétation ! Certes, nous avons tous « la volonté » de devenir ce que nous pensons être la meilleure version de nous-mêmes ; Sauf que dès notre plus tendre enfance, nous développons des mécanismes de survie qui nous aident, mais entravent aussi l’accomplissement de cette version.
Pourquoi développons-nous des mécanismes de survie ?
Dès la naissance, notre personnalité subit des contrariétés. Notre premier signe de vie n’est-il pas un cri poussé face à l’agression de ce nouvel environnement ? Puis s’ensuivent d’autres contrariétés, certaines nécessaires à notre éducation, d’autres inculquées par notre entourage ou notre environnement. Face à elles, nous nous armons desdits mécanismes.
Comment tenir nos engagements envers nous-mêmes ?
Les contrariétés évoquées plus haut constituent ce que l’on appelle « des blessures ». Ces dernières ont été classées par la psychanalyse en cinq groupes : La trahison, le rejet, l’abandon, l’humiliation et l’injustice. Il y en a en chacun/chacune de nous, même si notre ego nous pousse à penser le contraire. La première étape consistera à définir la blessure qui impacte le plus notre comportement. Ensuite, il faudra reconnaître le mécanisme de survie que l’on a développé pour y faire face. Enfin, on pourra instaurer un plan d’action allant dans le sens de nos souhaits d’amélioration. Le but de cet enchainement est d’abandonner le mécanisme de survie qui a tendance à hypothéquer l’accomplissement de nos résolutions.
Tina Zschiegner
Stratégiste comportementale
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