Les vacances d’été ne sont pas seulement réservées à la plage ou à la piscine, elles sont aussi marquées par un film qui rafle la mise. Pour bien profiter de ses vacances devant l’écran, Plurielle vous propose une sélection coup de coeur des films de l’été.
« Roulez jeunesse »
Eric Judor interprète le rôle d’Alex, un dépanneur automobile dans le garage que dirige d’une main de fer sa mère. Un jour, il dépanne une jeune femme et passe la nuit chez elle, mais au petit matin elle disparaît lui laissant sur les bras trois enfants. Il se retrouve père malgré lui… Une comédie familiale déjantée à découvrir !
« À la dérive »
Une histoire de survie et d’amour. Tami Oldham et Richard Sharp décident de convoyer un bateau à travers le Pacifique et se retrouvent pris au piège dans un terrible ouragan. Après le passage dévastateur de la tempête, Tami se réveille et découvre leur bateau complètement détruit et Richard gravement blessé. À la dérive, sans espoir d’être secouru, Tami ne pourra compter que sur elle-même pour survivre et sauver celui qu’elle aime.
« Break »
À la suite d’un grave accident, Lucie craint de voir se briser le rêve de sa vie : devenir danseuse. Elle quitte les beaux quartiers et part en banlieue à la recherche du père qu’elle n’a jamais connu. La jeune femme y croise Vincent, un ex-danseur qui a étrangement sacrifié sa passion. Poussé par Malik, son complice de toujours, il accepte de la coacher et lui fait découvrir un nouveau style de danse, le break.
« Le dossier de Mona Lina »
Mona, une jeune femme libanaise, est soupçonnée par le Hezbollah d’être une informatrice des services secrets israéliens. Craignant qu’elle soit démasquée, l’agence de renseignement Mossad l’exfiltre vers l’Allemagne et lui fait changer de visage. Ils la cachent pendant deux semaines dans un appartement de Hambourg, le temps qu’elle se remette de son opération. Agent du Mossad cachée sous une fausse identité allemande, Naomi est chargée de lui tenir compagnie et de la protéger. Mais le Hezbollah est à la poursuite de Mona et la planque ne s’avère plus aussi sûre que prévue.
« American Nightmare 4 »
Le quatrième épisode de la saga d’épouvante imagine un monde où, le temps d’une nuit, crimes et délits sont autorisés. En effet, durant une nuit, il est autorisé de commettre impunément tout crime et délit. Les pulsions violentes des individus se libèrent, et la nuit devient scène de violence et d’atrocités en tout genre. Mis en place par un gouvernement dirigé par une secte millénariste, les Nouveaux Pères fondateurs, cette politique du chaos se veut une manière paradoxale de contenir la criminalité et de purifier la société par la violence. A vrai dire, ce film est une métaphore politique d’un schématisme lisible où se dénonce la brutalité des rapports de classes (la purge ne profite qu’aux classes aisées qui l’utilisent pour se débarrasser des « parasites » de la société), aux marchands d’armes, etc. De plus, la saga est ponctuée d’indices subliminaux qui renvoient parfois à une réalité immédiate, par exemple la méchante du troisième volet est un sosie d’Hillary Clinton.
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