Avec 99% de voix, le quorum de l’assemblée générale ordinaire élective de l’AFEM a désigné Leila Doukali nouvelle présidente nationale de l’association.
L’ensemble des membres ont applaudi la candidate unique qui, selon eux, permettra enfin à l’AFEM de prendre un nouvel élan, en déployant un programme d’actions concrètes autour du développement de l’entreprenariat féminin.
Selon Leïla Doukali, le chantier autour des problématiques de l’entreprenariat féminin est immense et le défi est grand. Et ce n’est pas par hasard que son programme s’appuie sur une véritable stratégie, avec une vision claire, autour “d’une AFEM forte qui compte encore plus fort sur l’échiquier économique, une AFEM innovante et engagée pour la parité“, souligne t’elle. Parmi les points de ce mandat porté à l’ordre du jour lors de cet AGOE qui s’est tenue au siège de la CGEM, on note la mise en place avancée du processus de la régionalisation.
Le programme présenté pour le mandat 2019-2022 est en phase avec les attentes des femmes entrepreneures dans le cadre du nouveau modèle de développement prôné par les plus hautes instances. Après avoir perdu en vitesse, aujourd’hui, l’AFEM est pleinement confiante en l’avenir de cette belle association qui a vu le jour, en 2000.
Le comité de transition ainsi que le comité des sages soutiennent pleinement leur nouvelle Présidente qui à coup sûr, assurera un mandat riche en succès et en réussite.L’assemblée générale a également débattu de la volonté affichée des délégations régionales à avoir plus d’autonomie dans la gestion des représentations AFEM et ce, dans le cadre du plan national de la décentralisation des régions.
Le comité des sages s’est engagé à se pencher sur tous les aspects répondant à leurs attentes et de programmer à moyen terme, une révision des statuts de l’association. Pour l’heure, une charte globale permet aux régions de mettre en œuvre leur plan d ‘actions avec des larges prérogatives.
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