Hervé Renard est en colère et le fait savoir. Avant même le début de l’émission Koh Lanta, celle-ci a été annulée après que Candide, une des candidates se soit fait agresser sexuellement. Cette candidate n’est autre que Candide Renard, la fille du sélectionneur de l’équipe de football marocain. Alors que la presse ne cesse de commenter ce fait d’actualité, Hervé Renard a décidé de prendre la parole sur sa page Facebook officielle afin d’expliquer qu’il ne tomberait pas dans le « show médiatique », mais ferait confiance à la justice.
Selon Hervé Renard, « le match ne fait que commencer »
Voici l’intégralité de son post Facebook :
« Beaucoup de choses ont été dites, concernant la déposition de ma fille Candide.
Nous avons choisi de faire confiance à la justice dans cette affaire.
Chaque partie est en droit de choisir sa stratégie.
Le plus important pour nous, ne sera pas le show médiatique, dont nous n’avons pas besoin pour nous défendre, mais une cohérence pour respecter la justice.
Nous attendrons le verdict de cette affaire avec patience et calme.
Les grandes déclarations ne servent qu’à se rassurer soi-même et à attirer l’attention.
Justice sera faite et l’honneur de ma fille sera rétabli face aux calomnies et divers mensonges à son égard.
Le match ne fait que commencer. »
Hervé Renard
Koh Lanta, une émission sous les feux des critiques
Pour rappel, quatre jours seulement après le début du tournage de Koh-Lanta, qui se déroule sur les îles Fidji, un scandale a éclaté. Selon le Parisien, Candide aurait été “agressée sexuellement” dans la nuit de mardi à mercredi. Candide, 21 ans, aurait profité du malaise d’une des candidates pour alerter les équipes de production.
Après avoir été prise en charge par la psychologue présente sur place, la jeune femme et son agresseur présumé auraient été rapatriés en France pour mener l’enquête sur cette affaire. Eddy Guyot, le présumé agresseur a été placé en garde à vue avant d’être relâché sans suite. On ne sait pas trop ce qu’il adviendra, mais comme dit Hervé Renard, faisons confiance à la justice.