Vous en avez assez d’aborder la saison des mariages avec moult remises en cause et tracas ? La bonne nouvelle est que cela ne tient qu’à vous de changer votre vision du célibat ! Eh oui, préférez le verre à moitié plein et profitez des avantages à être seule. En d’autres termes, n’attendez pas d’être aimée pour kiffer ! La preuve par cinq…

A vous les dates !

Les rendez-vous se suivent et ne se ressembleront pas étant donné que ça ne sera pas avec la même personne ! Alors sachez profiter des préparatifs: achetez une robe, changez trois fois de coiffure et savourez les petits papillons dans le ventre à l’approche du restaurant.

N’osez pas nier, vous adorez cette petite pression qui vous travaille avant de rencontrer quelqu’un. D’ailleurs, vos amies en couple ne manqueront pas de vous avouer à quel point elles vous envient car cette période leurs manque cruellement.

Assumez-vous à fond !

Bonne nouvelle, vous n’avez plus besoin d’être parfaite pour votre moitié ! Ce n’est pas une raison de se laisser aller, au contraire, mais là vous avez l’occasion rêvée de vous assumer seule. Apprenez donc à vous aimer, à vous lâcher et aussi  à penser à votre futur de manière détendue. Vous pourrez par exemple, vous offrir un dimanche cocooning avec un masque à l’avocat ou encore un samedi soir entre copines histoire de se rappeler que de toute façon, le mariage, c’est pour les nuls !

Pas d’homme, pas de belle-famille !

Mettez l’hypocrisie de côté et avouez-le, les beaux-parents c’est pénible. Soit ils squattent chez vous, soit ils vous font des reproches sournois assez discrets pour vous faire passer pour une paranoïaque.

Idem pour les amis de l’homme… cette bande de dévergondés affamés qui vous compliquent la vie et qui malgré tous vos efforts vous reprocheront toujours de priver l’homme de sa liberté. Pour résumer, vous n’aurez plus personne à supporter malgré vous ! Profitez-en donc pour vous entourer de personnes qui comptent réellement pour vous. Renouez des liens avec ceux que vous auriez pu négliger lorsque vous étiez en couple. Et faites ainsi le plein d’énergies positives.

Pas d’homme, plus de temps !

Il est évident que lorsque l’on est célibataire on a tout le temps pour soi. Il vous faudra certainement du temps avant d’apprendre à dompter correctement votre nouveau temps libre, tellement appréciable quand on sait en tirer parti.

Il n’est pas question de vous tuer à la tâche on vous imposant un rythme de vie d’instagrameuse : boulot, sport, sorties, cuisine à domicile et shopping, tout cela en sirotant votre thé vert matcha…

Soyez plus réaliste et sachez surtout vous délecter du fait que vous n’ayez pas à attendre votre chéri pour regarder la suite de votre série ou encore que vous puissiez passer deux heures au téléphone avec votre meilleure amie sans vous l’entendre reprocher. En gros, pas de chéri = plus de temps et donc… plus de liberté. Qui va dire non à la liberté ?!

Vous êtes une vraie jeune femme moderne

Et votre valeur ne se mesure pas à la taille du caillou à votre annulaire ! Vous n’avez pas besoin d’être avec un homme pour vous créer une identité. Profitez de cette poussée de féminisme. Sans trop en faire. Concentrez vous sur votre carrière, apprenez une nouvelle langue ou offrez-vous un beau voyage entre copines. Et si, par le plus grand des hasard, il arrivait qu’un monsieur sympathique pointe le bout de son nez, ne l’envoyez pas balader pour autant!

Les 8 règles d’or pour bien vivre son célibat

• Apprivoisez la solitude. C’est avant tout un moment d’introspection qui doit être bénéfique à votre épanouissement personnel.
• Sentez-vous bien chez vous. Soignez votre intérieur de sorte à y ressentir tout le confort dont vous avez besoin pour vous détendre.
• Ayez confiance en vous. Vous ne serez jamais mieux servie que par vous-même alors apprenez à vous aimer.
• Ouvrez-vous aux autres. Gardez le meilleur qu’ils ont à offrir et fermez les yeux sur le négatif.
• Profitez des plaisirs de la vie.
• Soyez égoïste. Faites vous plaisir !
• Ne subissez plus. Affirmez-vous et apprenez à dire “non”.

Surmontez la pression sociale. “Chacun sa route, chacun son chemin.”