On en apprend tous les jours sur la lauréate du Prix Goncourt 2016. Journaliste, écrivaine et ambassadrice de la francophonie, Leila Slimani est également fan de football, une passion transmise par son père Othmane Slimani, ancien président de la Fédération royale marocaine de football.
Leila Slimani, écrivaine touchée par le virus du football
On en apprend tous les jours sur la lauréate du Prix Goncourt 2016. Journaliste, écrivaine et ambassadrice de la francophonie, Leila Slimani est également fan de football, une passion transmise par son père Othmane Slimani, ancien président de la Fédération royale marocaine de football.
Ce vendredi 6 juillet, les Bleus affronteront l’Uruguay. Dans une interview publiée aujourd’hui dans les colonnes du Parisien, l’auteure franco-marocaine de «Chanson Douce» revient sur les origines de sa passion pour le sport le plus populaire au monde.
«Quand le Maroc a remporté sa seule Coupe d’Afrique des nations en 1976, mon père était alors président de la Fédération marocaine de football. Il regardait tous les matchs, du plus pourri au plus prestigieux. Cela a généré pas mal de disputes familiales, mais à la maison, il nous a transmis le virus. Il est mort il y a longtemps maintenant, en 2004, mais regarder la Coupe du monde sonne pour moi comme un rendez-vous avec lui», a-t-elle déclaré.
Leila Slimani, avoue être stressée pour l’équipe française qu’elle encourage depuis le début de la compétition: «Ce vendredi, j’espère revivre les mêmes émotions que devant France – Argentine. J’aime la jeunesse de cette équipe, son énergie et le panache qu’elle dégage. J’espère que le suspense ne durera pas trop longtemps. Les Bleus nous ont donné tellement d’espoirs que j’avoue être un peu stressée. Nous, les écrivains, on peut douter. Mais pas eux. Ils n’ont pas le choix, ils doivent aller au bout».
Qu’ils aillent au bout ou non, on sait que l’écrivaine encouragera les Bleus devant son écran de télévision.